jeudi 1 mai 2008

La grue

Près de la Grande Bibliothèque , à Paris, on couvre les voies de chemin de fer de la gare d'Austerlitz.
J'ai toujours bien aimé les chantiers, et quand en plus il y a une grue, je ne peux pas m'empêcher de rester un moment à l'observer. Ce jour là, malheureusement elle ne bougeait pas, mais même les grues ont droit aux jours fériés.

7 commentaires:

lyliane six a dit…

C'est vrai ça construit dur dans le coin, moi j'ai toufours peur de voir la grue s'ecrouler sur moi et je passe vite mon chemin.
Bon week end.

hpy a dit…

Faire le pied de grue pour photographier une grue - non, je n'ai pas dit que tu avais l'air sot - ce n'était pas nécessaire, la grue était là, elle posait pour le photographe.

J'ai l'impression que Paris change à toute vitesse3.

Anonyme a dit…

Je n'ai pas l'impression que Paris change à toute vitesse, je ne vais pas assez souvent à Paris pour me rendre compte des choses. Les grues, je n'aime pas trop, quand il y a du vent, elle grince, comme si elle était de mauvaise humeur. Moi quand il y a du vent, je ne grince pas. Mais il est vrai que je ne suis pas une grue. :-) Bises

Alain a dit…

Ce quartier de la grande bibliothèque est aussi appelé "de la gare" - c'est là que se garaient les bateaux le long de la Seine. C'est aussi le quartier des frigos (entrepots frigorifiques désaffectés qui servaient de lieux de fêtes et de squats), il en reste encore un...dépêchez vous d'y aller !

Olivier a dit…

tres patriotique cette grue. il est vrai que les chantiers font souvent de bon sujet de photos

Bergson a dit…

Moi qui suis fan des grue, je ne pouvais passer sans te dire que j'adore celle la

Cergie a dit…

Coucou Alain !

Tu as fait fort avec les publications depuis mon depart en Californie, tu me donnerais presque le nostalgie de l Ile de France et de Paris...

Bravissimo pour le chouette contre jour de la rue Poliveau notamment et la lumiere de printemps qui l eclabousse...
Et pour le ciel nuageux qui couvre et estompe la fleche de la grue...