La mare à Bertrand

Sur le parvis de l'hôtel de ville à Paris, un jardin "éphémère" a été installé.

Après l'hôpital éphémère, les usines éphémères, Paris se dote d'un jardin du même nom.

La musique à Versailles

Les grandes eaux, de la musique classique, sans vacarme inutile et une leçon de démocratie : les jardins du palais rendus aux gens ordinaires (contre 8 Euro, d'accord), c'est "Versailles".

Merci Daniel, sans tes photos je n'aurai pas eu l'idée d'y retourner.

Fête de la "musique" ?

La fête de la musique, à Paris, c'est plutôt la fête du bruit. Square de Picpusse, les musiciens (?) se reposaient et les enfants en profitaient pour escalader le kiosque. Instant rare.

Marche à pieds en banlieue

La voie de chemin de fer à Vincennes (dernier refuge de la biodiversité).

Hier soir j’ai échangé 20 minutes de train contre 2 heures de marche : je suis rentré à pieds du boulot. Cela permet de découvrir de près des paysages que l’on voit de loin d’habitude.
En vrac : un jardin dédié à une exploratrice, un texte sur un mur et un rond point décoré à Fontenay sous Bois,

Un train peut en cacher un autre

Le Bondy Blog nous avait annoncé des rames de métro neuves sur la ligne 2 ; Dimanche soir je n'en ai pas vu la queue d'une.
Ce billet et cette modeste photo (Nation ne vaut pas Babylone) est un prétexte pour faire découvrir, à ceux qui ne le connaissaient pas, ce blog parisien, créé à l'origine, par des journalistes Suisses pour suivre de près les émeutes de banlieue.

Si vous préférez, il y a aussi les éditions de Neuilly, Dakar et Marseille.

Soir de Paris

C'est un instant de grâce : vendredi 19 heures 7 minutes boulevard de la République à Paris, tout est calme.

L'arrière-boutique du marchand de sable

Il en a pour tous les goûts : du fin, du très fin, du gros et du moyen.

Le marchand de sable était-il (comme nous dit une célèbre encyclopédie en ligne), "un vendeur ambulant, auprès duquel les cuisiniers se procuraient du sable qu'ils répandaient sur le sol de leur cuisine afin de le rendre moins glissant" ? Pas sur !

C'est l'employeur de Nounours . On peut trouver sa description dans un conte d'Andersen (où il est parfois appelé "Ole Ferme l'oeil") : il porte un habit de soie et a un parapluie sous chaque bras. Sous le premier, sont peintes de belles images qui font faire de beaux rêves aux enfants sages, sous le second, il n'y a rien, c'est celui qu'il ouvre au-dessus des vilains garnements qui dorment alors d'un mauvais sommeil et se réveillent la tête lourde. C'est une explication comme une autre quand on a un peu forcé sur les boissons fortes.

Métro aérien

Ce n'est pas la Seine, c'est le Douro. Tout le monde ne peut pas aller à Frisco, surtout pour un week-end et Porto, c'est quand même plus près. Le métro passe sur un pont, construit par Eiffel, et les Portugais, blasés regardent à peine le paysage.

PS : Daniel Pennac a publié aux éditions HOEBEKE un recueil de dessins "Ecrire". Il doit se trouver dans les bonnes librairies, même à Avignon.