Elle se dresse au sommet du labyrinthe du jardin des plantes. Dit comme cela, c'est poétique, mais quand on sait que ce monticule est en réalité un tas de détritus, immondices et autres rebuts...cela l'est moins.
Qu'importe, les arbres ont poussé depuis, et quels arbres : un érable de Crète, planté en 1702, un cédre du Liban en 1734, et bien d'autres ...
Si vous passez par là, ne manquez pas de rendre visite au nouveau pensionnaire de la galerie de l'évolution du Muséum : un calmar géant. Evitez la ménagerie, qui est un peu triste, et puis cela rappelle trop "La débauche" de Tardi et Pennac.
C'était notre message culturel de la semaine.
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3 commentaires:
Hello Jonas! bien rentré?
il y a bien longtemps que je ne suis allée au jardin des plantes, ça me faisait toujours mal au coeur de voir ces pauvres loups tourner en cages.
Coucou Jonas !
Nous étions là-haut cet après-midi, mais comme les bancs en fonte étaient humides (ben oui, c'est une question de météo), nous ne nous y sommes pas assis.
Haaaaa ! Deux commentaires, j'ai presque battu mon record !
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