Le marathon de Paris a traversé PICPUS, barré les rue, et tout cochonné.
Le pavé était gras.
C'est ce qui frappe le plus, les détritus : morceaux d'oranges et bouteilles en plastique.
Nous sommes trop à faire les mêmes choses au même endroit en même temps. Vive l'individualisme !
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2 commentaires:
Mon fils Etienne a travaillé pour le dernier marathon de Paris quand il était stagiaire, c'est vrai que c'est le binz
Là il me semble que c'est le semi marathon dont tu parles. En fait dès qu'on est nombreux c'est vrai il y a des cochonneries Mais ça me fait penser aux marchés forains, tu vois, un coup de jet et il n'y parait plus. C'est bien qu'il y ait des marchés forains aussi, non ? C'est vrai, la foule ça mange et ça boit...
Le pire par contre ce sont les traces de chewing gum qui sont si dur à enlever sur les trottoirs
Allez, t'es coquin, Picpus c'est pour toi tout seul toute l'année alors tu peux bien le prêter un jour, un seul !
Je suis d'accord - Vive l'individualisme! Et j'ajoute - A bas la foule!
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